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Quand on se compare, on se rassure.

« Espoir, rebond et efforts collectifs pour que la France reste France »

Le 27 juillet dernier, le journal anglais « The Economist » publiait un article sur l’état de la France comparée à ses voisins Européens. Il est toujours intéressant et instructif de voir comment la France est perçue de l’étranger, perception souvent à contrecourant de notre sentiment national.

Décrit comme un pays ayant une aversion pour le changement, un talent pour la révolte et un goût excessif pour les impôts… mystérieusement, cette France réfractaire obtient de bons résultats économiques, la mettant en tête des grands pays européens. En effet, depuis 2018, la croissance cumulée du PIB en France a été deux fois plus forte qu’en Allemagne, et devant la Grande-Bretagne, l’Italie et l’Espagne.

Cette dynamique s’explique par des choix historiques comme la mise en place du réseau ferroviaire à grande vitesse ou la politique pronucléaire qui fournit toujours 66 % des besoins de la France en électricité décarbonée mais aussi, par la politique menée par notre majorité depuis 2017 qui redonne une attractivité certaine au pays :

– La recherche et l’innovation font surgir de nouvelles start-ups technologiques ayant enregistrées plus de brevets que la moyenne de ses grands voisins européens.

– Le pays compte le plus d’entreprises dans le top 100 mondial

– La France abrite la plus grande banque de la zone euro.

– Avec 7% la France affiche un taux de chômage historiquement bas.

La France a réussi à équilibrer la promotion de l’entreprise et la création de richesses tout en conservant cet « État-providence », modèle français, qui fait encore un meilleur travail que ses grands pairs pour corriger les inégalités. Le taux de pauvreté de la France est bien inférieur à la moyenne de ses voisins européens.

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