Le Président de la République a pris acte du résultat des élections…
Le mouvement des démocrates et apparentés auquel j’appartiens à l’Assemblée, ne peut que se féliciter des orientations du projet de loi de finances 2019.
Le deuxième budget du mandat vient confirmer les engagements pris, notamment en ce qui concerne le redressement des comptes publics, l’investissement dans la sécurité des Français et la transition écologique, le soutien aux plus vulnérables et l’accélération de la démarche de transformation.
Dans le prolongement des réformes déjà̀ engagées, il répond toujours au triple objectif de libérer l’économie et le travail ; protéger tous les citoyens et investir dans une croissance durable au service des citoyens.
Dans l’immédiat les français constateront une consolidation voire une augmentation de leur pouvoir d’achat.
En plus de prévoir une baisse de la pression fiscale (baisse d’impôts de six milliards d’euros) pesant sur les ménages, le gouvernement parvient à tenir ses engagements et à définir des priorités politiques claires en augmentant par exemple les crédits au service de la sécurité, de l’Education ou encore de la Justice.
Aider les plus fragiles reste le fil conducteur de ce budget par hausse de l’allocation adulte handicapé, du minimum vieillesse et du niveau des seuils d’application de la hausse de la CSG pour les retraités. Ce sont 300 000 nouveaux retraités qui en seront ainsi exemptés.
Nous nous sommes engagés sur un programme clair que nous mettons en oeuvre et que l’on pourrait résumer ainsi :
-privilégier le choix du travail pour libérer et émanciper;
– transformer nos entreprises et les rendre plus compétitives;
– simplifier la fiscalité;
– accompagner efficacement les plus fragiles, assurer la protection des citoyens et engager une véritable transition écologique ;
– poursuivre la transformation de l’action publique. Une baisse de plus de 4000 postes dans la fonction publique.
L’engagement présidentiel de suppression de 120 000 emplois publics (70 000 dans les collectivités locales et 50 000 dans le périmètre de l’État) monte en puissance en lien avec les premiers effets des réformes structurelles engagées depuis l’été 2017.
La transformation de notre pays dépend de notre capacité à réussir dans chacun de ces points.
Je m’y emploie avec conviction, abnégation et pédagogie.